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Tool, 10 000 days

Le nouveau Tool, 10 000 days, est sorti depuis deux jours. Cela ne manquera pas de relancer les polémiques entre ceux qui trouvent ça creux et alambiqué (les antitools) et ceux qui trouvent ça profond et génial (les protools). Oui, ma phrase ne servait qu'à placer ce jeu de mots minable.
Cela ne départagera personne mais le premier single de l'album, "Vicarious", est disponible sur le site officiel de Tool (cliquez sur Listen).
Cela est ridicule et nourrira les griefs des antis bourrés de mauvaise foi : le quotidien gratuit Metro, infesté d'un protool, a publié hier "10 bonnes raisons d'acheter 10 000 days". Evidemment, il n'y a que des raisons drôlement fallacieuses, du genre "ils détestent Bush", "ils prennent leur temps", "le bassiste est beau gosse"... et ma préférée : "leur chanteur est fou !". Quelle belle qualité !
Cela est un peu traître mais bon... Tout le monde a un passé. Comme le disait récemment un jeune homme aux doigts habiles : Playlist, c'est un peu les Enfants de la télé du Web. Et James Maynard a un passé musical chargé. Le genre de choses qui l'ont sûrement (et logiquement) poussé à se cacher dans l'obscurité à chacun de ses concerts. Le genre de spectre humiliant qui ballote à travers le temps de désastreuses conséquences, un peu comme si le "vous" de 1985 rencontrait celui de 2015, provoquant ainsi une déchirure du tissu même du continuum espace-temps et entraînant la destruction totale de l'univers.
Enfin bref, voyez vous-même...

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